Quels sont les téléphones rentrer chez facebook

Smartphones sont comme des machines à sous

Avoir un smartphone est comme porter un casino dans votre poche, mais il y a des moyens de réduire votre dépendance.

Chaque année, mon mari et moi prendre nos enfants sur un voyage de deux semaines qui diffère de nos autres jours fériés d'une manière significative: Nous débranche complètement de l'Internet. Pas de téléphone, pas d'e-mail, pas Facebook. Nous ne vérifions même pas les nouvelles.

Au début, il est difficile. Je me sens nerveux, instable et panique. Après quelques jours, cependant, les choses étonnantes commencent à se produire. On parle de plus en rêver de nouvelles idées. Nous avons lu plus de livres. Même les garçons deviennent contenu à regarder les fenêtres sur longs trajets en voiture.

Mais ça ne dure jamais. Peu importe combien je jure de résister au smartphone lorsque je rentre chez moi, je trouve bientôt me reprendre les vieilles habitudes: répondre à des textes tout en faisant le dîner, la lecture des articles pendant le brossage des dents et en ignorant mon mari alors que je commente les messages Facebook.

Craignant que je pourrais avoir un problème et je me demandais comment désintoxication, j'ai appelé David Greenfield, le fondateur du Center for Internet et de la technologie des toxicomanies.

Je suis loin d'être seul, il a confirmé, et il n'y a rien de nouveau. Depuis les années 1990, dit-il, des dizaines d'études ont documenté la nature addictive de l'Internet. Et l'accès à l'Internet a seulement intensifié avec la popularité des smartphones.

Les études du cerveau, en particulier, révèlent combien nous sommes vulnérables à l'imprévisibilité de ce que nous pourrions trouver à chaque coup. zones de récompense allument. Nos cerveaux surtension avec sensation de bien-être des produits chimiques, comme la dopamine, la sérotonine et l'ocytocine. aller vers le bas les niveaux de produits chimiques qui signalent l'anxiété et le stress, y compris le cortisol et la noradrénaline.

Pendant ce temps, une interminable série de bips, des tintements et des lumières clignotantes nous rappelle qu'une récompense potentielle pourrait être en attente. Il est comme porteur d'un casino dans nos poches.

"L'Internet est la plus grande machine à sous du monde», dit Greenfield. "Et le smartphone est la plus petite machine à sous dans le monde."

STATISTIQUES TOXICOMANIE

- Entre 3 et 10 pour cent des gens trouvent smartphones interfèrent avec la vie et les relations de manière préjudiciable.

- 33 pour cent ont déclaré que leurs téléphones ont fait qu'ils se sentent frustrés.

- Les étudiants déverrouiller leurs appareils 60 à 80 fois par jour pendant trois minutes à la fois.

- Seize pour cent des personnes dans une enquête ont déclaré qu'ils se sont réveillés plusieurs fois par nuit pour vérifier leurs téléphones.

- 77 pour cent ont déclaré que leurs téléphones ont fait heureux.

Plus nous laissons nos téléphones dominent nos vies, le pire est peut-être nous. Dans une étude 2014, les étudiants qui ont dû rester tranquillement assis dans une salle de conférence pendant une heure sans accès à leurs téléphones souffert en relation directe avec combien ils utilisés normalement leurs téléphones pour commencer.

La minorité du groupe qui ne sont pas de grands utilisateurs de téléphone n'a pas eu beaucoup de peine à la tâche. Pour tout le monde cependant, l'anxiété à pointes tôt. Ces sentiments inconfortables chez les utilisateurs de ont plafonné téléphone modérés après environ 20 minutes. Mais les niveaux d'anxiété ont commencé plus élevé et ont continué à grimper pendant toute l'heure chez les gros utilisateurs.

D'autres études ont montré que voir juste un smartphone dans une pièce peut nuire à la capacité des gens à accomplir des tâches mentales complexes et même les relations de forme. Aussi sont communs vibrations fantômes et sonneries imaginées.

"La théorie est que la partie du cerveau pense au téléphone», explique la psychologue Larry Rosen, co-auteur du livre à paraître Le Distrait esprit: comment se concentrer Lorsque la technologie détourne votre cerveau .

Et pas étonnant. "Il contient tout dans notre monde. Il est essentiellement un espace infini qui contient notre vie."

Étant donné le plaisir qu'ils apportent et l'anxiété qu'ils peuvent atténuer, réduire la dépendance sur nos téléphones peut sembler impossible. Quand je l'ai dit Rosen que je voulais utiliser mon téléphone moins, je fus soulagé quand il a dit d'aller la dinde froide était une mauvaise idée et ne fonctionnerait pas.

COMMENT sevrer VOTRE TÉLÉPHONE

Au lieu de cela, il recommande une stratégie progressive qu'il a vu le travail pour beaucoup de gens, y compris lui-même. Tout d'abord, il suggère d'annoncer ce que vous faites publiquement afin que les gens ne seront pas attendre des réponses immédiates de vous. Ensuite, régler une minuterie, en commençant par un intervalle de 15 minutes et qui augmentera au fil du temps.

Son objectif est de 30 minutes entre les vérifications. A la fin de chaque intervalle, une minute ou deux de temps de téléphone est autorisé. Pendant les intervalles, laissez votre téléphone silence à proximité pour réduire le stress de se demander où il est.

J'ai commencé ma cure de désintoxication sur un mercredi après-midi avec un message Facebook qui a suscité des commentaires souvent favorables et une demande pour mon iPad depuis que je ne serais pas en utilisant plus. Puis je régler la minuterie.

Au cours des prochains jours, j'appris des choses sur moi-même. Pour une chose, mon envie de regarder mon téléphone est la plus forte au cours des accalmies de la vie: attente dans les lignes, en attendant que les feux rouges pour tourner le vert, et attendre que les gens reviennent de salles de bains. Et tandis que mes intervalles de 15 minutes sont rapidement devenus des intervalles de 30 minutes sans trop de peine, en attendant que l'alarme a été plus difficile à l'heure ou deux après que mes enfants vont se coucher.

Une autre chose que j'appris est que je n'aime pas vraiment des alarmes pour me dire ce qu'il faut faire. Après quelques jours, je me suis arrêté de régler la minuterie et au lieu prêté attention aux moments où je me suis senti obligé de déverrouiller mon téléphone. Chaque fois que je le pouvais, je choisi de regarder le monde à la place.

Quand mon téléphone commence inévitablement à contrôler notre relation à nouveau, je prévois d'utiliser un ou deux jours d'intervalles pour revenir sur la bonne voie. Mieux encore, je vais programmer notre prochain séjour sans dispositif.

- Le Washington Post