Que diriez-vous datant app

Avec les collèges et les universités de l'Amérique sévir sur le campus d'agression sexuelle, un "branchement" apparemment inoffensif pourrait conduire à une accusation de viol. Un homme Marblehead avec une histoire de carrière inhabituelle espère changer la conversation, avec des applications logicielles qui visent à prouver si un partenaire potentiel a dit «oui» ou «non».

Une des nouvelles applications, nous-consentement. utilise la caméra et le microphone vidéo d'un iPhone d'Apple pour organiser rendez-vous galants. "Dit oui ou non . . . Consentement confirmé. Amusez-vous, "l'application entonne d'une voix féminine britannique accentué breathy.

ton pragmatique, unsentimental de nous-Consentement ne siège pas bien avec Apple Inc. qui a refusé d'offrir le logiciel dans son App Store en ligne.

"Ils ne veulent pas que leur nom là-dessus», a déclaré Michael Lissack, ancien Wall Street trader d'obligations fédérales et dénonciateur qui a aidé à développer l'application. "Ils pensent qu'il est dégueu."

Lissack distribue l'application à partir d'un site Web exploité par l'Institut pour l'étude de la cohérence et de l'émergence, un groupe de réflexion où il sert en tant que directeur. Il est au prix de 5 $ par année.

Apple a accepté d'accueillir une autre des applications de Lissack. Qu'est-propos-No, également au prix de 5 $ par année, permet une vidéo utilisateur de tournage d'une personne faisant des avances non désirées, tandis que l'écran du téléphone affiche une vidéo d'un avertissement policier air sévère que «aucun moyen pas."

Apple n'a pas répondu aux demandes de commentaires.

Nous-Consentement permet à un couple de générer un enregistrement vidéo de leur consentement mutuel à des relations sexuelles. L'application demande à chaque personne pour son nom, et si chacun veut avoir des relations sexuelles avec l'autre.

Pendant ce temps, les images avant et arrière caméras de capture du téléphone des visages des personnes, tandis que le microphone enregistre leur accord. L'application ne fonctionne que si les caméras détectent les visages humains, et les deux parties doivent convenir par voie orale à des rapports sexuels. Si l'on dit «non» ou ne peut pas être clairement vu, le processus se termine et l'enregistrement est détruit.

enregistrements terminés sont cryptées et transmises à un serveur distant, où ils seront sauvegardés pendant sept ans. Lissack dit que la vidéo sera libéré seulement à quelqu'un qui a obtenu une citation à comparaître délivrée par le tribunal. Même les gens qui ont fait la vidéo doivent obtenir une ordonnance du tribunal pour obtenir des copies.

Qu'est-propos-Pas fonctionne de la même manière. Il y a une version gratuite qui prétend être l'enregistrement vidéo, mais vraiment est pas - il est comme utiliser une caméra de surveillance factice pour effrayer les cambrioleurs. Mais la version payante, 5 $ par année, stocke un enregistrement vidéo de l'incident, disponible uniquement avec une ordonnance du tribunal.

Une application similaire, Good2go, a été introduit à l'automne dernier, mais retiré quelques jours après Apple a objecté.

Lissack est pas un entrepreneur de logiciel typique. Au début des années 1990, il était directeur général du département des obligations municipales à Smith Barney Inc. En 1993, il a informé les régulateurs fédéraux de pratiques commerciales douteuses à diverses sociétés d'investissement. Lorsque les entreprises ont payé 250 millions $ en pénalités pour régler la question, Lissack a obtenu environ 15 pour cent de l'argent comme une récompense en vertu des lois des dénonciateurs. Il a également plaidé coupable en 1998 pour harcèlement au second degré pour l'envoi d'e-mails de harcèlement aux dirigeants de son ancienne entreprise. Lissack n'a pas reçu de temps de prison et a payé aucune amende.

Lissack a ensuite obtenu un doctorat en administration des affaires du Henley Management College au Royaume-Uni.

Alison Kiss, directeur exécutif du Centre Clery pour la sécurité sur le campus à Wayne, Pa. A déclaré que, au lieu de compter sur la technologie, les personnes qui envisagent une relation sexuelle devraient apprendre à se connaître les uns les autres. «Ce sont des conversations que les gens devraient être formés pour avoir," Kiss dit. «Je pense que la conversation doit se produire plus tôt que lorsque vous filmer votre consentement pour ce qui est sur le point d'arriver."

Lissack dit Nous-Consentement est principalement un outil pour obtenir les couples parler et réfléchir sur les implications de commencer une relation sexuelle. "Le point principal de l'application est de changer la façon dont les conversations se produisent, non pas pour l'application à utiliser», a déclaré Lissack. «Parfois, nous avons besoin des accessoires pour déclencher des conversations."

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